ceinture jaune
FEU (vidéo ou thread argumenté avec photos):
Présenter 2 amadous naturels capables de donner une braise ou une flamme avec une pyrobarre (donc capable de combustion sans présence préalable d'une flamme)
AMADOU 1 : une substance cotonneuse, récupérée au bord du canal de la RANCE
Apparemment il s'agit d'une floraison d'un fruit quelconque qui ressemble à une coquille sèche qui éclate avec la venue du soleil (mai-juin) pour libérer son "pollen-coton", impossible de trouver le nom de l'arbre / du fruit. On me dit Saule, Frêne... help ?
Un petit zoom avec la main de ma douce, je peux vous dire que ça s'allume comme un rien avec un firesteel !
L'arbre d'où cela "tombe" vraisemblablement :
AMADOU 2 : Les fibres de champi-mignon, ce champignon qui semble être un Ganoderme Aplani (un cousin de l'Amadouvier un peu plus boursouflé et grisâtre).
La technique est la même, il faut se saisir d'un champignon âgé, le laisser dans un lieu humide et sombre afin qu'il se ramollisse un petit peu, puis découper (couteau, hachette, scie ou scie à métaux si vraiment dur) des lamelles comme des tranches d'emmental, les étirer un peu pour assouplir la matière. Ensuite, on utilise un support plat et un outils "lourd" de type marteau, dos de hachette et on tabasse gaiement les tranches pour préparer les fibres. Quand tout cela est fait, on peut séparer les fibres comme de la ficelle lieuse SISAL afin de "grossir" un peu le tout, lui donner du volume et surtout augmenter sa sensibilité à l'incandescence. Lorsque cela forme une petit boule de peluches (certains préfèrent racler le champignon pour en faire des copeaux plutôt que de découper des lamelles, chacun son choix) on laisse bien sécher, on trempe éventuellement dans la résine de pin si on en trouve, puis laissez sécher, votre amadou est prêt. Bien sûr, dans ce champignon-ci, il y a moins de matières inflammables que dans l'Amadouvier, mais on fait avec ce qu'on trouve huhu !
AMADOU 3 : la Barbe de Maïs après pollinisation (août), la partie hors de l'épi de maïs s'assèche rapidement et devient aussi inflammable que de l'herbe sèche/morte :
OBJET (vidéo ou thread argumenté avec photos):
Fabriquer un piquet de tente en bois à l'aide d'un couteau (video noté sur la technique et sur la SÉCURITÉ !!)
Piquet numéro 1 : en effet, il fait une petite courbette, mais elle est légère ! Il est fin (comme les Menhirs d'Agecanonix dans ASTERIX) mais solide.
Piquet numéro 2 : plus long, plus costaud, j'ai moins taillé le bout "pointu" afin qu'il soit moins fragile lors de l'entrée en terre.
Piquet numéro 3 : moins long mais plus costaud (épaisseur, largeur, forme). Je peaufine ma technique : la pointe est coupée sur une face "plate" mais pas trop juste afin de donner une inclinaison favorisant l'entrée en terre tout en garantissant une possibilité de ré-usage dudit piquet par la suite. Je l'ai taillé proprement pour qu'il soit plus rectiligne. L'encoche est juste ce qu'il faut, le haut est bien plat pour ne pas créer de fissures du bois au premier coup de marteau / pierre / dos de hache / pied...
Pour parer au problème de la pointe, qui doit être plutôt fine mais solide, je suis parti sur une coupe "diagonale" de la pointe, ça plante mieux qu'une pointe "de forme arrondie" comme le piquet numéro 2 tout en restant costaud.
NOEUD (vidéo):
Réalisation d'un "nœud de chaise" + "double noeud de chaise"
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=8-idzOLiPk4[/youtube]
CUISINE (vidéo ou thread argumenté avec photos):
Présenter une ration alimentaire pour 24 heures dans les bois (boissons incluse)
PETIT-DÉJEUNER : une banane découpée en rondelles et délicatement (ou pas) disposée sur une tranche de pain aux céréales (pain de mie si trajet sauvage, pain frais si civilisation pas loin). Une banane fait environ 3 tranches de pain de mie donc ça cale bien. Ajouter à cela du lait si possible, sinon une barre de céréales au lait (je suis fan des barres Nesquick personnellement). Cela fait des vitamines et glucides (fruits, sucres rapides), des féculents (pain et céréales qui apportent des glucides mais plus lents à être absorbés donc bons pour le long terme). Le lait apporte son petit lot de matières grasses et on comblera le midi pour les lipides (viande, poisson, oeufs...). Si vous avez une ferme prêt du bivouac, allez voler emprunter acheter 1-2 oeufs de poule (on trouve rarement des oeufs d'Autruche) ça passe bien le matin avec du pain également et ça résout le problème des lipides manquants au ptit-déjeuner de Breizhou. Au niveau des boissons, si vous avez du lait à boire, buvez-le, sinon l'eau reste le plus simple (le café pour ceux qui aiment, le thé, une infusion de plantes) pour ma part j'ai une petite bouteille de sirop à l'orange made in USA, je verse quelque goutte et mon eau "plate" devient un bon petit jus d'orange du matin.
DÉJEUNER : si j'ai pu faire les courses le matin, un sac de chips et du saucisson font l'affaire pour moi. Si je suis éloigné de la civilisation, des nouilles chinoises (2 sachets) avec son lot d’assaisonnements en herbes, huile... avec ledit saucisson ou une autre source de lipides (poisson pêché avec un lacet de chaussure ou... acheté en grande surface, ou un oeuf, de la viande sous une autre forme). En dessert une dose de sucre pour booster la reprise de la marche, que je prends plus tard si je fais une pause (sieste, repos simple) avant de repartir histoire d'avoir le sucre juste avant la marche. Il est possible d'agrémenter le repas d'une entrée selon vos fonds de sacoches, quelque chose de frais est toujours apprécié (salade de quelque chose...).
EXEMPLE : pâtes lyophilisées d'une grande marque de rando-camping avec le saucisson qui va bien !
GOÛTER : si je suis fatigué en sortie je m'arrête et je fais un goûter, sinon je me contente de picorer dans ma poche quelques raisins secs ou une barre de céréales (au fruit, je garde le lait pour le matin) tout au long de l'après-midi, en m'hydratant bien avant d'avoir soif pour éviter la sensation de soif, la déshydratation, les crampes ou autres courbatures musculaires.
DÎNER : je ne mange pas, je dors car qui dort dîne ! Quoi ? Je n'ai pas été convainquant ? Ok ok le soir je mange, j'avoue tout ! Si j'ai de quoi faire, un bon plat de pâtes chinoises me fait le plus grand bien, si j'en ai mangé à midi je varie avec ce que j'ai : des patates (cuites selon l'envie du moment dans le feu, dans de l'alu, à la casserole, en rondelles ou en frites...), du riz, du blé, des haricots, des lentilles... Dans tous les cas quand il fait frais une bonne soupe, ça prend pas de place dans le sac mais ça fait 1L/1kg dans le ventre pour dormir sans avoir faim. J'agrémente avec du pain histoire de ne pas manger que de l'eau. Les soupes de champignons emportent toute mon affection. Un peu de viande mais moins le soir car pas besoin de graisse pour dormir. Je bois la soupe et après un peu d'eau fraiche pour dormir sans avoir soif, si pas de soupe alors je passe directement à l'eau fraiche pour accompagner le repas ! Certains aiment se faire une infusion de plantes, du café, du thé... moi je suis simple, l'eau est la meilleure boisson du monde pour moi (avec le cidre !).
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ceinture orange
FEU (vidéo):
Allumer un petit feu de camp à l'aide d'une pyrobarre (fire-steel) ou allumettes (la vidéo sera notée sur la préparation du feu mais SURTOUT sur la SECURITE !!)
1) FIRESTEEL et Amadou naturel de type "herbes sèches" dans la vidéo avec en soutien des écorces et copeaux de cerisier
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=L4TnXoPtUz4[/youtube]
OBJET (vidéo ou thread argumenté avec photos):
Fabriquer un bâton de marche
1) Voilà l'intégralité de mon fidèle compagnon, ce que je prenais pour du hêtre est en réalité du Charme m'enfin... Merci à Jacob pour le moyen mnémotechnique pour les différencier
(conception validée par Jacob)2) le bas du bâton, j'ai laissé l'écorce et deux petites branches (avec des feuilles pour montrer que c'est bien un charme : feuilles dentelées)
3) le haut du bâton, j'ai également laissé l'écorce pour qu'il tienne bien en main, j'ai ajouté un morceau de ficelle sisal pour le fun, s'il avait été plus long j'aurais fait des demi-clés sur 10 cm pour assurer une bonne prise en main et évitez qu'il ne soit glissant par temps de pluie.
4) Avec ma main pour vous montrer l'échelle du bâton, je ne sais pas pourquoi les photos le rendent aussi petit alors qu'en fait c'est un arbre (jeune certes) entier que j'ai utilisé, il est lourd et costaud, je pourrais sans problème m'en servir comme perche pour sauter un fossé il ne casserait pas.
NŒUD (vidéo) :
Réalisation d'un "nœud d'écoute"
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=s22iYkwUNe0[/youtube]
NOURRITURE(vidéo ou thread argumenté avec photos) :
Filmer ou photographier une plante comestible lors d'une sortie (petite sortie dans le bois du coin)
1) Des jeunes pousses de ronces, je ne suis pas fan mais bon, ça s'bouffe ^^
2) Des fleurs de pâquerettes (le truc rose sur la photo)
3) Les traditionnels orties avec leurs voisins : plantain lancéolé
4) Nom inconnu, fleur de la famille des ombellifères, avant l'ouverture totale de la fleur ça ressemble à des chénopodes (dont le bulbe se mange)
4) Du trèfle avec des fleurs autour
5) Du plantain majeur (l'autre variété) - astuce : frotter contre la peau provoque un effet apaisant sur les boutons (moustiques, orties...) :
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ceinture verte
FEU (vidéo]:
1) construire un réflecteur pour son feu de camp (construits par Jacob et Breizhou en même temps, je précise par soucis d'honnêteté)
2) allumer un petit feux de camp à l'aide d'un Pyrobarre (fire-steel) avec un amadou naturel (la vidéo sera notée sur la préparation du feu mais SURTOUT sur la SECURITE !!)
2-a) FIRESTEEL et Amadou naturel de type "herbes sèches" dans la vidéo avec en soutien des écorces et copeaux de cerisier
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=L4TnXoPtUz4[/youtube]
2-b) FIRESTEEL et Amadou naturel de type "écorces de bouleau" un peu humide car prise le jour même après un peu de pluie, mais ça le fait quand même. L'astuce dont je parle dans la vidéo au regard du firesteel consiste à incliner le starter à quasiment 90 degrés contre la barre, au lieu d'un petit angle de 45 degrés comme je le faisais avant. Certes cela épargne la barre mais produit moins d'étincelles donc moins de chaleur tandis qu'en augmentant l'angle on utilise mieux l'arrête du starter, ce qui racle bien les morceaux de métal et allume le feu beaucoup mieux et surtout plus vite !
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=isgLQbRHKWs[/youtube]
2-c) (pas de vidéos, testé avec Jacob) : Allumage d'un feu avec de l'amadou (d'un champignon Amadouvier) + firesteel
2-d) (pas de vidéos, testé avec Jacob) : Allumage d'un feu avec de la poudre/copeaux de bois gras + firesteel
OBJETS(vidéo ou thread argumenté avec photos):
=======> Fabriquer un sifflet
>> j'en ai fait 2 en sureaux (un tout seul et un avec Jacob) et 2 en bambous, vidéo à venir pour vous casser les oreilles !
Malheureusement les sifflets en sureau ne fonctionne plus, le bois a séché et "travaillé" en quelques semaines et malgré une retouche des réglages ça ne siffle plus ! Jacob pourra attester (sauf si son alzheimer précoce est déjà là ^^) que je lui ai cassé les oreilles avec mon sifflet sureau, fait sur la table de pic-nic près de la crêperie perdue dans les bois (pendant qu'il mettait des orties dans son riz !) et le sifflet bambou je vous ferais une vidéo, il tient bien et le son est le même depuis sa fabrication !
1) Premier sifflet en sureau : couper la longueur désirée (j'ai pris un peu long là) et évidez l'intérieur (la moelle) ça part bien. Si le sureau est "sec" on ira doucement pour éviter de le fissurer / casser, s'il est vert on peut y aller gaiement (comme si on utilisait une pompe à vélo, faut forcer un peu)
2) L'intérieur doit être vide d'un bout à l'autre (sur la photo j'ai loupé l'alignement du tube mais on voyait bien la lumière passer)
3) Certains préfèrent écorcer (enlever l'écorce marron et la sous-écorce verdâtre si le bois est vert), pour mon premier j'ai joué la mode des années 80 (naturelle). Creuser une fente en biseau à 1-2 cm du haut de votre sifflet (là où vous soufflerez). Bouchez l'autre bout en taillant un bout de bois par étape (on taille, on essaie le trou, on taille, on essaie) le but étant qu'il faille forcer un peu pour le rentrer afin de bien bloquer l'air, qui sortira par la fente. La fente fait +/- 1cm de large, commencez petit pour ne pas ruiner votre sifflet (trou trop grand = trop d'air qui sort = pas de sifflements !). Taillez un bout (l'idéal est de faire un grand bout quand vous taillez le bas ainsi vous avez déjà la bonne taille et en coupant le bout du bas vous avez la pièce du haut !). Prenez soin d'ajouter délicatement un "plat" sur le morceau du haut afin de laisser passer un peu d'air quand vous soufflerez, mais pas trop sinon l'air ne "coincera pas" = pas de sifflements ! C'est toute la différence entre un beau tuuuuuuut tuuuuuut et un frustrant ffffff... Après vous coupez ou poncez les extrémités pour que rien ne dépasse (plus propre, je n'ai pas pris la photo suivante). Attention, le bout du haut fera toute la différence, il faut "jouer" avec en l'avançant ou reculant un peu pour produire l'effet escompté (tuuuuuut tuuuuuuut), n'hésitez pas à passer délicatement la pointe de votre couteau dans la fente pour repousser le morceau vers le haut (le morceau qui doit d'ailleurs arriver plus ou moins à l'orée de la fente). Le bois ayant "séché" et "bougé" depuis la fabrication, ce sifflet ne fonctionne plus...
4) Vidéo du sifflet en bambou (j'en ai fait 3 avec Jacob lors de notre randonnée en Brocéliande)
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=sP_bsqRVxHc[/youtube]
=====> Construire un trépied (tripode) et y suspendre un popote (gamelle) sans cordage autre que naturel.
1) J'ai commencé par fixer deux branches ensemble, dont une avec une fourche (la 2ème branche se cale dans la fourche) pour plus de stabilité, il n'y a même pas besoin d'attacher ainsi (les photos sont faîtes dans le garage car j'ai monté le trépied tard le soir).
2) Ensuite j'ai ajouté la troisième branche, et j'ai effectué plusieurs tours en croisant ou sans croiser avec les morceaux de bois qui dépassaient (en haut) pour solidifier l'attache.
3) Comme je l'ai dit, je n'ai pas de popote donc j'ai rempli un seau bien lourd avec 1L d'eau, le tout fait plus d'1,5kg et cela tient tout seul avec le liant que j'ai choisi : du lierre montant (l'ami Hedera Helix comme l'appelle les latinistes). Si ça tient avec plus d'un kilo et demi, ça tiendra avec 1L d'eau dans une petite popote.
4) Zoom sur l'installation en haut
5) J'ai rajouté un bout de plus pour suspendre la gamelle / popote / seau
6) Comment faire tenir le récipient (peut varier selon l'attache du récipient, si c'est un demi-cercle métallique comme ici on prend un grand bâton, on le passe et on le coince tout simplement (rapide et facile à retirer) ; si c'est un anneau relié à trois chainettes on fabrique un crochet en bois (en faisant deux encoches opposées (une en haut une en bas du bâton) qui fonctionnera comme un crochet en S etc...
7) Sous un autre angle (avec l'eau pour prouver le poids ^^) :
NŒUD (video) :
Faire un "nœud en huit (et double noeud de huit)"
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=YoEGR4fjDB8[/youtube]
NOURRITURE(vidéo ou thread argumenté avec photos) :
Préparer un plat avec une ou des plantes comestibles sauvages (soupe d'ortie, salade de pissenlit etc ...)
1) Et bien ça sera soupe d'orties justement ! Voyons voir les étapes que j'ai suivi (selon la recette de Papi Gus sur youtube, un retraité belge bien marrant).
Tout d'abord, ça va de soi il faut allez les chercher les orties ! Gants, serpe, faux, couteau long, taille haie... tout est bon pour être à distance parce que disons le honnêtement, retenir son souffle ça ne marche pas ^^ C'est mécanique, les orties sont couverts de poils minuscules (j'ai fait des recherches avant de me lancer) avec un bulbe remplit d'un liquide à base d'acide et quand le doigt touche la feuille, le poil s'enfonce dans les pores de la peau et se brise, répandent ainsi le liquide urticant qui cause tant de démangeaisons... La première étape est décisive car il faut trouver "le bon coin" où les orties seront sains : pas trop de passage animal, pas de pesticides etc...
2) Ensuite on sélectionne les feuilles les plus belles (grosses, bien vertes, sans maladie dessus ou excréments d'oiseaux...) ça m'a pris 1h30 en mettant une bonne dose d'huile de coude pourtant.
3) Étant dans la "blanche" (cuisine) j'ai ajouté un peu d'extra : oignons et échalotes dorés dans du beurre avec des pommes de terre pré-cuites à la vapeur, on fait revenir le tout puis on ajoute les feuilles (préalablement lavée avec un égouttoir, il est recommandé de laver au dernier moment pour éviter que les feuilles ne perdent leur saveur et leurs qualités diverses) on mélange bien puis on ajoute de l'eau, les feuilles se tassent un peu on peut en rajouter encore une couche jusqu'au 3/4 de la casserole (avec une grande). Laissez cuire à feu doux pendant 30 minutes et remuez de temps en temps pour que tout soit harmonieusement réparti dans la casserole. Ensuite, mixer le contenu pour obtenir une soupe verdâtre, si vous êtes à l'extérieur (forêt...) faîtes des confettis de feuille dès le début puisque vous n'aurez pas le mixeur pour l'étape finale. Ajoutez du sel, du poivre, laissez refroidir un peu puis consommez avec (si vous en avez) un peu de crème fraîche !
4) A la fin une fois mixée, la soupe devient subitement toute verte et veloutée (photo du net, j'ai oublié d'en prendre une !)
5) J'ai fait quelques chapatis pour montrer aux parents. Attention, je ne sais pas comment ils font en Inde mais je n'arrive pas à obtenir une galette fine comme eux, donc quand j'en fait des trop fins, ils sont durs et craquants mais pas dans le bon sens du terme, je préfère donc faire mes chapatis un peu plus épais (3cm environ) quitte à ce qu'ils soient moins bien cuits dedans mais plus moelleux.
TECHNIQUES DIVERSES (video ou thread argumenté avec photos):
Trouver du bois gras (du lieux de récolte jusqu'à l'obtention de l'item)
==> Technique : il faut repérer un résineux mort, depuis un certain temps (je n'ai pas de période à donner, plusieurs mois au moins, le mieux étant qu'il soit mort depuis une bonne année pour être sûr) ou trouver une souche ou des restes d'une souche d'un résineux. Si le tronc est encore là, il faut le faire tomber en prenant toutes les précautions possibles. Je recommande d'accrocher une corde dessus puis de la faire passer derrière un arbre qui se trouve du côté où le tronc penche puis de s'en servir comme poulie pour aller de l'autre côté du tronc mort afin de ne pas être du côté où il tombera ! Le pire étant de jeter une corde et de tirer tout en restant à l'endroit où l'arbre tombera, ce serait trop dangereux ! Une fois le tronc tombé/arraché la souche est libérée, il faut la tabasser gaiement avec une hache ou un couteau pour atteindre son centre, là où le bois n'est pas pourri. Pas pourri car gorgé de résine (l'odeur vous permettra de ne pas vous tromper) sachant que le bois gras a souvent une allure "luisante" et rosé selon l'arbre (à cause de la saturation en résine). Sortez cette partie là de terre et découpez la en copeaux environ gros comme le petit doigt, faîtes sécher mais pas devant le feu (cela ferait sortir la résine qui fonderait alors...) ensuite rangez au sec par exemple dans une poche-à-feu (bourse en cuir, sac...). Si le bois gras est mouillé... ça marche toujours mais il est alors préférable de gratter le bâton au couteau pour en faire une poudre ou des petits copeaux !
NB : par manque de batterie je n'ai pas filmé l'intégralité de la scène, juste une photo finale d'un morceau que j'ai retiré, Jacob pourra témoigner de ma ferveur à tabasser la souche pour en sortir tout ce qu'elle avait à offrir.
Réalisation d'une cuillère sommaire (noté sur la praticité de l'objet, l'esthétique importe peu)
PREMIERS JETS POUR LA CUILLERE (3H DE BOULOT MINE DE RIEN...) : LE LIEU DU CRIME
JOUR N°1 : LA VICTIME
JOUR N°1 : LA VICTIME A PLAT (elle respire encore rassurez-vous)
JOUR N°2 : encore 3h de travail (oui on dirait pas einh ?! Je commence à avoir plus de finesse dans mes coups avec la hachette, plus que 3h de boulot je ponce... euh je pense.
JOUR N°2 : l'intérieur que j'ai commencé à creuser, je pense avoir bien mal choisi mon bois et l'emplacement de mon morceau de bois (j'ai pris le coeur de la buche : dur comme de la pierre pour tailler...). J'ai trouvé un clou enfoncé solidement à un arbre (il ressortait de l'autre côté) donc j'ai empalé dessus ma cuillère proprement pour faire un trou sur le bout du manche (afin de passer une dragonne, lanière...). L'intérieur je l'ai creusé avec un vieux tournevis plat que j'ai aiguisé (on fait ce qu'on peut lol) je m'en suis servi comme d'un petit burin avec un marteau. C'est lent et pas pratique, mais bon en mode bushcraft quoi, et le bois est vraiment TROP dur pour être creusé au couteau, la lame ripe est aie aie les doigts.
JOUR N°3-4 : j'ai poncé à la main (papier verre 80) le bois, surtout à l'intérieur du bol parce que l'extérieur était propre et lisse assez vite, puis j'ai mis à tremper 19h dans de l'huile de tournesol
JOUR N°4 : Après séchage pendant 2h j'ai mis de la ficelle lieuse SISAL dans le titi trou que j'avais fait au clou. Pourquoi ? Une portée pratique (suspendre la cuillère à une branche pour éviter qu'elle traine par terre) et une portée survie (la ficelle servirait d'amadou en désolidarisant les brins pour donner un peu de volume). Si c'est pas bushcraft tout ça ^^
JOUR N°4 : Zoom de l'intérieur, le noir c'est quand j'ai creusé un peu plus profond par endroit (bien malgré moi) l'huile a mieux pris... mais ça rend bien avec la lumière du jour, de très beaux reflets marronés ! L'extérieur du bol je l'est bien travaillé (j'ai arrêté le dessous à cause d'une fissure, je ne voulais pas casser la cuillère) donc il est bien "rond" et totalement lisse, on peut mettre dans la bouche sans risquer de se blesser avec une écharde ou autre. Je la ferais surement bouillir un peu au niveau du bol pour éviter que les petites fibres au fond ne finisse dans la bouche, mais à part ça... mission terminée ! J'avais bien travaillé les détails du manche et du bol pour l'utiliser pour la ceinture bleue, mais la fissure m'oblige à arrêter là les travaux, je referais donc une autre cuillère (châtaignier surement sur les conseils de Jacob ^^) pour la ceinture bleue, j'aurais néanmoins l'expérience de cette première cuillère en chêne (mauvaise idée ça... tant pis).
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ceinture bleue
FEU(video):
Obtenir une flamme à l'aide de la méthode de la loupe ou du Silex + acier
OBJETS(video ou thread argumenté avec photos):
1) fabriquer un propulseur ET une sagaie
Alors oui l'empennage est pourri, il était tout beau au début mais à force de lancer le truc une dizaine de fois il s'est ratatatiné, c'était pas une super plume non plus il faut dire, peut mieux faire donc.
Distance sans forcer (on voit bien la nonchalance du cowbaye lol) une trentaine de mètres
[youtube][/youtube][youtube]http://www.youtube.com/watch?v=lpL3NS0V2Uk[/youtube]
2) Réaliser une cuillère qui soit esthétique et fonctionnelle.
2-1) Morceau de charme (coupé par Jacob dans la forêt de Brocéliande)
2-2) J'ai enlevé l'écorce au couteau tout en tâtant bien l'objet pour voir où se cachait la cuillère
2-3) Plusieurs jours plus tard après 3-4 heures de boulot (surtout pour creuser le bol de la cuillère !)
2-4) Je l'ai trempé 45h dans l'huile végétale mais elle n'a pas beaucoup brunie.
2-5) J'ai conservé un bon arrondi dessous afin qu'elle soit bien solide et un peu "lourde"
2-6) Le "bol" n'est pas parfait, terminé au cutter avec des centaines de petits coups précis.
2-7) Le manche est courbé, cela vient à la fois de la branche et de mon travail de peaufinage de la forme, afin qu'elle tienne bien en main par rapport à ma façon de manger (je tiens mes fourchettes/cuillères comme une fourche, le pouce en dessous quoi) mais du coup la forme est parfaite pour rentrer dans ma bouche sans avoir à plier le poignet. Le "bol" est allongé mais pas trop "haut" pour pouvoir prendre plein de bouffe et racler la fin de la gamelle, bref cuillère sur-mesure pour Breizhou malgré une forme peu conventionnelle certes. Si je trouve un fer à souder je graverais le manche pour booster le côté "esthétique" avec des entrelacs (je dessine pas trop mal ce genre de chose).
1 an après, j'ai refait une cuillère un peu plus aboutie ! Je vis en apart maintenant donc j'ai perdu mon atelier : pu d'huile pour tremper... faudra racheter un jour !
NŒUD (video) :
===> Faire un "nœud plat"
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=q_ahumM1iqw[/youtube]
TECHNIQUES DIVERSES:
===> Fabrication de corde ou ficelle naturelle (à partir d'orties, d'écorce, de racines etc ...) (video ou thread argumenté avec photos)
Et bien ce sera à base d'orties avec la méthode pour herbes hautes que m'a apprise Jacob !
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=iM54yLnyjkc[/youtube]
===> Montage d'un abris de type TARP (bâche ou poncho) (video ou thread argumenté avec photos)
1) Montage surnommé par moi-même le BOUCAN (la CANadienne BOUchée)
2) Astuce haubans / piquets pour grand vent (stabilité maximales : 4 tensions opposées)
3) Montage en canadienne "inclinée" (vent faible) : l'arrière n'est pas au sol mais surélevé grâce au piquet arrière qui tient l'attache centrale, permet de mieux étirer la toile au milieu et à l'arrière pour éviter une bête accumulation d'eau (l'eau ici ruissellera sur les côtés au lieu de rester devant l'arrière). L'avant de la toile est décollé du sol, permet une meilleure ventilation (avec l'arrière surélevé, ça marche ensemble) pour que le vent faible balaie l'intérieur de la toile : pas de condensation, air toujours bien frais et s'il fait chaud, une petite brise contrôlée fait plaisir).
4) Montage semi-tipi : cette toile ne possède pas d’œillets latéraux ni d'attaches à même la toile pour "écarter / étirer" la toile vers les extérieurs donc cette forme semi-tipi semble un peu brouillon mais ça tient bien malgré le vent et la pluie (avec cette toile là j'entends, avec une toile +oeillets+attaches-toile c'est une combinaison gagnante). Si j'avais eu cela, j'aurais décalé le côté droit de l'entrée pour lui donner un angle "refermé" à la perpendiculaire vers l'intérieur pour bloquer le vent, et la partie gauche aurait été plus en biais et plus avancée afin de créer une sortie pratique mais coupant mieux le vent
5) Montage lean-to (tout bêtement en français "incliné") on forme un toit pentu avec la toile, qui est alors tendue parfaitement (si pluie c'est parfait pour l'écoulement de l'eau) d'un côté j'ai utilisé un piquet en alu de l'autre l'arbre tout simplement, j'ai amélioré l'abri avec une couverture de survie côté tête parce que le vent me refroidissait l'ambiance et j'étais un peu trop dans les fourrés (bébêtes sur la tête) ainsi bonne isolation, la chaleur du petit feu s'engouffre et reste autour du haut de mon corps (il flottait par contre)
Ce montage était semi-incliné en fait car je l'avais couplé côté feu avec un montage "trappeur" c'est à dire j'utilise les oeillets latéraux (côtés pentus) pour ajouter un piquet (on le voit timidement au premier plan, il est petit), aussi le pentu devient plus horizontal en haut et plus vertical en bas, ce choix était pour mieux voir le feu et éviter que la toile ne soit trop "offerte" à ce dernier. Notez que j'ai surélevé le piquet le plus éloigné pour conserver une pente et non un horizontal qui pourrait garder l'eau, faire une flaque, s'alourdir et déchirer la toile après une nuit de pluie. C'est donc sur le côté tête un lean-to (incliné) qui laisse quasiment pas passer le vent dans notre cas, et de l'autre côté c'est un lean-to un peu "trappeur" pour relever la toile et ne pas me cacher les environs du feu (même si tout était trempé de toute façon)
6) Montage scarabée" ou "dôme" : c'est mon préféré ! Le point le plus important est l'attache centrale qui part vers le haut. On monte la toile normalement, en forme canadienne avec un piquet à chaque traverse, on plante les deux côtés au sol pour que ça tienne, puis on attache le haut, on tend bien, on ré-ajuste le côté qui sera "le dos" de la toile en plantant au sol pour isoler le côté au vent. L'autre côté (au choix einh) sera mis en mode trappeur, on relève les deux coins pour avoir une visibilité sur le feu ou la nature (surveillance ou admiration). On met une petite rangée isolante sur ce côté (on prendra soin d'entrer par une traverse et non par le côté long de la toile du coup) pour plus tard. On bouche une traverse (qui n'a plus de piquet) avec les sacs à dos pour couper un éventuel vent / du soleil dans la tronche tôt le matin, ça sera la tête (à droite sur ma photo) donc l'entrée se fait à l'autre traverse (à gauche sur ma photo). Le soir s'il pleut on est tranquille sous la toile profitant du feu (sur la photo le feu est à 15m de la toile donc c'est pas un bon exemple car la chaleur n'arrivait pas à la toile, c'était voulu). Puis, quand on éteint le feu pour dormir, le point central qui tient le tout, permet la formidable opportunité d'abattre les piquets pour abaisser le côté, qui tombe pile sur la petite rangée isolante qu'on aura faite avant et puisque l'attache du haut "tend" la toile, pas besoin de re-régler les haubans, l'eau s'écoulera naturellement vers le bas et au donc aucun splash-effect avec l'isolant ni infiltration d'eau et puis la chaleur reste dedans (l'entrée n'a plus que 30-40cm de hauteur mais l'absence de piquets permettra quand même de pouvoir sortir en urgence en soulevant la toile à 70-80cm de haut au cas où ! Le vent reste dehors, peu d'endroit où entrer, la pluie pareil, c'est le cocon royal pour à peine 1 kg.
Vu de dos : on voit la rangée isolante que j'ai monté en 2 minutes (tapis de feuilles) pour empêcher le côté au vent de laisser passer le vent "par dessous". Au sol intérieur une bâche bleue/verte classique, remontée un peu sur chaque côté pour boucher encore un peu le vent mais surtout d'éventuelles rigoles d'eau intempestives qui voudrait nous mouiller... Au petit matin y'a pu qu'à remettre les piquets et on retrouve un mode "trappeur" qui permet de faire la popotte dehors, tout en restant "dedans" (surtout à l'abri de la pluie en fait). Pour la petite anecdote, ce lieu de bivouac je l'ai trouvé dans une petite ville, je pensais être sorti de la ville, je vois une entrée de champs, un petit bois, je rentre, je me débats pour arriver dans cette clairière, je plante je me pose et... au petit matin je m'aperçois que je suis dans un bois privé qui donne sur un potager qui donne sur un jardin avec des statues grecques... c'était le jardin d'un couvent, avec le couvent à 200m
7) Montage AFFH (A-frame for hammock) soit en français le montage en forme de A pour hamac)
Affuter un couteau à l'aide d'une pierre (pierre à eau, à huile, céramique etc ...) (video)
BON CA SERA UNE HACHE POUR LE MOMENT ! Je ne trouve plus la vidéo avec le couteau héhéhé
[youtube]http://youtu.be/-qeXM3SWTiE[/youtube](edit Suma ,on voit mieux la video maintenant )
[youtube][/youtube][youtube]http://www.youtube.com/watch?v=-qeXM3SWTiE[/youtube]
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ceinture marron
FEU (vidéo):
Obtenir une flamme avec la méthode du feu par friction à l'arc
OBJETS(vidéo ou thread argumenté avec photos):
Fabrication d'un arc de puissance moyenne avec ces flèches (corde en synthétique acceptée)
OU
Fabrication d'un couteau et de son étui (à partir d'acier ou de récupération type lime etc ...)
NŒUD (video) :
Faire un nœud tête de turc
CUISINE(vidéo ou thread argumenté avec photos):
Faire du pain ou autres substitut dans la verte
1) Entrainement "dans la blanche..." (la cuisine !) histoire de bien assimiler la préparation de la pâte pour les Chapatis !
150gr farine, 1/2 verre d'eau, 3-4 pincées de sel, un peu d'huile ça aide à décoller la pâte (si on a de la levure c'est le grand luxe).
Mélangez le tout progressivement jusqu'à obtenir une pâte fluide (malléable) mais compact, style pâte à modeler.
Si vous devez mettre quelque chose en plus c'est maintenant (mûres, bananes...)
2) Bien aplatir pour former un truc pas trop épais (sinon le milieu ne cuira pas et l'extérieur cramera si vous laissez longtemps pour cuire le centre quand même)
Astuce Breizhou
: percez des trous avec une fourchette, un bout de bois, un couteau, la pâte gonflera mieux et cuira mieux au centre ! 
3) Là c'était ma première fois mais notez qu'ils sont trop épais mes chapatis, le centre n'a pas bien cuit ! Le prochain coup j'aplatirais encore un peu (sur des braises d'un vrai feu c'est plus simple puisque les cendres et le contact direct à la source de chaleur empêchent l'extérieur de cramer donc l'intérieur cuit tranquilement)
4) Sur le petit feu de ma gazinière j'ai mis 3-4 minutes par côté avec de la matière grasse dans la poêle pour éviter que ça ne brûle, ça a un peu gonflé, cuit, doré... prenez les (si dans le feu : sortez les et essayez d'enlever un peu de cendres histoire de le rendre plus présentable) et ouvrez-en un pour voir la cuisson. Ils étaient trop épais là donc peu importe si je laissais dans la poêle ça ne cuisait pas dedans et ça commençait à brûler dehors, j'ai préféré arrêter là, c'est très mangeable comme ça !
PLANTES (Photos):
Photographier et préparer 2 plantes comestibles
DIVERS(thread argumenté de photos):
Réaliser un fil de discussion tutoriel "tuto" dans la section de votre choix et sur le sujet de votre choix.
Tutoriel 1 : Faire son panier en osier : viewtopic.php?f=72&t=4784
A VENIR 2: le piégage de A à Z (repérer la proie, traquer et trouver le terrier, construire le piège et le positionner correctement).
Avoir au minimum 150 messages à votre actif sur le forum (participation)
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ceinture noire
FEU (vidéo):
1) Allumer un feu par friction manuel "Hand Drill"
2) Fabrication et utilisation d'un piston à feux (la fabrication peut être sous la forme d'un thread détaillé avec photo)
OBJETS (vidéo ou thread argumenté avec photos):
1) Fabriquer un récipient en bois de type KUKSA (noté sur la technique et sur la beauté de l'objet)
2) Fabriquer un outil coupant type COUTEAU en silex, os, bambou ou acier en utilisant le moins d'outils modernes possible.
3) Fabriquer un étui pour son couteau (cuir, bois écorce de bouleau etc ...)
4) Fabriquer un système de portage type SAC A DOS
5) Réaliser un sculpture en bois type WOOD-SPIRIT
CUISINE(video ou thread argumenté avec photos):
1)Présenter un menu préparé avec des aliments trouvés dans la nature (minimum 3 ingrédients)
2)Purifier de l'eau par filtration/ébullition
NŒUD (video) :
Faire un nœud de carrick
TECHNIQUES DIVERSES:
1) Aiguiser un couteau manuellement sur le terrain avec des ustensiles naturels trouvés sur le terrain (galets, pierre ...) (VIDEO)
2) Fabrication d'un abris 100% naturel (video ou thread argumenté avec photos)
SUJET LIBRE:
Présenter une réalisation ou une astuce de votre choix. (video ou thread argumenté avec photos (tuto))
==> Le coton carbonisé !
1) Prendre une source de flammes, que ce soit un feu, un réchaud à gaz, bois, alcool.
2) Prenez une boite de fer qui se ferme correctement, percez un trou au centre côté "haut"
3) Ne prenez la belle boite à bijoux de grand' maman, car elle finira comme ça :
4) Pliez un morceau de coton (drap, T-shirt...) plié pour entrer dans la boîte, déposez sur les flammes, une fumée va rapidement s'échapper du trou c'est normal. Cela signifie que le coton est en train de cramer mais il ne brûle pas, toutefois ses fibres sont fortement consumées par la chaleur sans bruler complètement pour autant (peu d'oxygène). Au bout de quelques minutes, la fumée s'arrête, il faut aussitôt boucher le trou et retirer (attention chaud ! chaud !) la boîte des flammes pour la laisser refroidir ! Lorsque la boîte est froide, ouvrez la et sortez précautionneusement le coton qui s'est transformé sous l'effet de la forte chaleur, les fibres de coton sont maintenant à forte teneur en carbone et sont facilement incandescentes, excellent pour démarrer un amadou moins sensible aux étincelles, il sert d'intermédiaire dans ces cas-là. Attention : le coton carbonisé ne produit pas de flammes ! (char cloth en anglais)
DIVERS:
Participation au forum, sens du partage, humilité (noté par un vote de l'équipe du forum)
Avoir un minimum de 300 messages à votre actif sur le forum (participation)
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Quel est le nom de cette ombellifère que tu présentes comme comestible?
tout ce que je sais c'est que des amis à moi mangent cette fleur là (peut-être que les feuilles ou que le bulbe, je redemanderais)